GONZO MUSIC
Chronique de l’album "Les Fils de Joie en Public"
avril 2025
"et si ce double album des Fils de Joie était le come-back de l’année pour un groupe en bleu blanc rock ?"
Buzz On Web
Une histoire des Fils de Joie en 10 Photos
mars 2025
"Bienvenue dans l’histoire de ces « héros oubliés de la New Wave » française qui ont retrouvé le chemin de la scène, avec talent et brio ..."
Télérama
« Résurrection », François Gorin
avril 2023
« Chance, ces morceaux portant les stigmates d’une époque moins bigarrée que nous le fait croire une certaine nostalgie, ont gardé une fraîcheur enviable. Encore et encore, Ultime pogo, Comme un animal ou le grinçant Tonton Macoute, brillent aujourd’hui comme ils auraient dû le faire hier »
« Les Fils de Joie pourraient aisément prétendre au titre de plus grand groupe culte et maudit de l’Hexagone. Entre 1982 et 1985, leurs chansons aux mélodies qui touchent auraient eu toute légitimité à sortir chez Mankin Records. Certaines auraient pu rencontrer un succès fou … Cette sortie met à l’honneur des inédits mi & fin-80’s, reliftés, sans que l’on sente la différence avec leurs hits souterrains »
« Ces post-punks rimbaldiens … Une poésie punk romantique en temps de guerre et de gangsters où c’est un délice de découvrir ou de redécouvrir des chansons ciselées comme des poèmes, comme "Sur la route d’Ainhoa", "Les plaisirs chers", "Ultime pogo", "Le bon Dieu n’a pas voulu de moi" et le merveilleux "J’appelle par-delà les mers" »
« Il y a vraiment une émotion particulière à laisser défiler ces titres comme autant de trésors perdus ramenés au grand jour d’un seul coup »
« Pop new-wave classieuse… sans oublier l’humour noir et le second degré des paroles … touchées d’une grâce poétique… Comme un polaroid nostalgique… l’album nous arrive comme un miracle sauvé des ravages du temps. Le tout a très bien vieilli »
Fanzine RESTPEK
Chronique de "Nous ne dansons plus la nuit" par Arnaud Monet
février 2023
« Ça m’a bien occupé ces deux dernières semaines, le skeud n’a pas quitté la platine depuis ! »
« Voici que résonne à nouveau la formation de Toulouse avec ce superbe "Nous ne dansons plus la nuit" qui n’avait jamais pu voir le jour à l’époque et c’est juste grisant de retrouver tous ces jeunes gens
modernes »